On attribue la paternité du procédé au sujet Britannique Frédérick SCOOT ARCHER en 1851, cependant Gustave LE GRAY l’aurait revendiqué en 1850. De toute façon c’est à un certain SHÖNBEIN que nous devons le nitrate de cellulose en 1846. C’est le fameux «COLLODION» sans lequel ce procédé n’existerait pas. Nadar a réalisé la quasi-totalité de ses portraits en utilisant la technique du collodion humide.
Ce procédé photographique fait suite aux travaux et réalisations de Niepce de Saint Victor, (procédé à l’albumine) très peu sensible nécessitant de nombreuses manipulations.
La plaque doit rester humide pendant tout le processus, d’où son nom «collodion humide». Il faut opérer rapidement d’où le labo mobile à proximité.